Pour mes soleils et mes lunes
Pour mes soleils et mes lunes
J'emporterai tous les soleils et les dunes
Tous les palais et les jardins lords
Du temps mes sommeils et mes plumes
Je rentrerai au nu La pluie d'étoiles qui est tombée sur terre
De la voûte céleste Moi,
sommaire poussière assise sur la croûte
terrestre Carnets bleus,
car mes sanges portent aux éther
Point de vue fabuleux Un souffle l'air neuf,
pur au cœur de mes
feuilles et mon verre Mansard ouvert sur une cité de lumière
L'horizon se perd sur les tours et des daubes
Vésible oeuvre de fées pour des femmes et
des hommes Pour rouge, pour gris, une sauce pure
Jaillie d'un rocher que jamais l'aventurier n'a touché
Millénais pour ses soeurs et ses frères Cavaliers fiers,
porteurs d'amour au fond
du super Chacune de mes prières sert Dieu
Père,
non *** Lucifer dans la soie de sa marquante J
'envolerai mes douze pensées pour vous et votre mère
Penserai toutes mes blessures au cœur de mon âme et
ma chair Ne voyez pas l'univers comme une frontière
Entre sombre et le clair,
le sabre et le clair Catégorie des
classes comme le notaire et le clerc
Je passerai au-dessus de vos têtes un bouclier fait d'huile,
de fer Où Dieu scellera notre union
éternelle comme le tonnerre et l'éclair
Je dépose ma vie à vos pieds,
je n'en ai qu'une,
elle est chère
Pour mes soleils et mes lunes
Je remple les deux pieds dans la tornade,
mes nerfs Entre la plume et la pierre,
ma prose loge
Des seules et je ne sais quoi faire J
'appelle votre nom en humile qui me vienne
aux oreilles Et crène le temps plus précieux qu'une pierre
Rare de mierre, rare de génère, une rare terre
Je marque du cerveau du pieu et de ses deux hémisphères
À l'ombre des psychomores,
en philosophie sur la genèse de ce mystère
Comme un jeune fang brûlé par un aigle entre le bec et les cerfs,
l'enfer avec le fer
Je verrai vos chaînes et je viendrai pour les défaire
Je les créer au fond d'une armoire,
un recueil métaphorique
Comme un adulte m'en,
célébrant une nouvelle génération poétique et l'hiver
Un de ces mois rudes,
où le blizzard glace les rivières
Mon sac sera rempli de dates et de fonds de déserts,
de rayons plus arbres
D'une galaxie qui décline sous le poids des âges,
s'écroule sur elle-même
Je compterai cette histoire pour qu'elle
m'aime Mon temps reclus dans le fort,
discipline
ascétique sévère Difficile comme discerner la démarcation
entre le ciel bleu et la mer Un bac
frontal et pontage du contact polaire
D'oncieuses croises,
comme les ojets de matière au-dessus des taches solaires
Cette strophe vient plus qu'une lettre vulgaire
Révèle une différence majeure comme celle
existant entre le sable et le verre Me
voient nos coeurs à la gloire de l'ombre
Dans le jardin,
serait les perles,
où chaque seconde passait loin
Une pensée adressée à ce perle C'est une pensée adressée à mes perles
Pour mes soleils et mes lunes,
je ferai du futur une épure,
simple de lecture
Je chasserai la peur et ses brumes,
pour que vos rêves restent sur fuge que le ciel murmure
Je paverai les rues des lents de mon coeur,
pour que vos pas soient sûrs
Parce que chaque chose fait rude par
nature Pour mes soleils et mes lunes,
je ferai du
futur une épure,
simple de lecture Je chasserai la peur et ses brumes,
pour que
vos rêves restent sur fuge que le ciel murmure
Je paverai les rues des lents de mon coeur,
pour que vos pas soient sûrs
Parce que chaque chose fait rude par nature
Pour mes soleils et mes lunes