L'ombre et la lumière,
la chaleur, la poussière,
Splendeur et misère d'un matador.
Cendres des cigares,
poignards des regards,
Habillés de ta peur et de tes fils d'or.
Tu nous joues des histoires d'amour à mort,
Mucho amor.
Oh matador,
C'est toujours une histoire d'amour à mort,
Et tu décroches la lune Pour des carmen fausses brunes,
Tu nous joues tes flamancos, tes opéras.
Sous les feux du crépuscule,
En rendez-vous majuscules,
Si fort que le corps tremble et le cœur bat.
Matador, matador, Matador, matador,
Matador, matador,
Matador, matador.
Oh matador,
Tu nous joues des histoires d'amour à mort,
Mucho amor.
Oh matador,
C'est toujours une histoire d'amour à mort,
Et tu
décroches la lune Pour des carmen fausses brunes,
Tu nous joues tes flamancos,
tes opéras.
Sous les feux du crépuscule,