J'ai mon amourEt nous sommes à quatre lieues de MérienEt nous sommes à quatre lieues de MérienLe vent tombe dans nos yeuxEt nous brûle comme un feuEt je sens le froidEt je sens le froidMe prendre les doigtsNous ne sommes plus très loinDe la grange et de ton foinIl ne reste qu'une allure pour MérienIl ne reste qu'une allure pour MérienIl ne reste qu'une allure pour MérienIl ne reste qu'une allure pour MérienMon vieux, lève-toiJe ne rentrerai pas sans toiJe veux bien t'aiderMais ne tire pasOn peut même s'arrêterCar avant d'être arrivéIl n'y a plus que trois cents pasPour MérienIl n'y a plus que trois cents pasPour MérienLe vent du nord est tombéEt quand le jour s'est levéPrès de son chevalOn l'a retrouvéAvec ses deux mains colléesSur le solDans la glace d'un rocherIl dormait à quelque partDe MérienIl dormait à quelque partDe Mérien...