Je suis heureux mais pas vraimentIl y a toujours quelque choseUn souffle lancinantQui rend mon ciel moroseJ'ai des amis mais pas tout le tempsCertains arrivent d'autre partÇa s'engouffre comme le ventMoi je sais pas fermer la porteÇa devrait pasPrendre tant de placeComme de l'eauQui se change en glaceJe sens mon coeurQui exploseQu'est-ce que j'y peux moiPas grand choseIl est sensible luiOn l'appelle madamePour qui il se prend luiVoir comme il parleOn peut le casserOn peut le tordreOn peut le jeterOn peut le prendreAttends mais de qui je parleMoi à force de l'entendreÇa rentre dans mes veinesComme ça, ça me transformeIl faut que je m'assumeQu'importe la femmeIl faut que je m'assumeQu'importe la femmeJe parle peu mais j'écouteJ'aime pas quand je te déçoisJe partage un peu mes doutesQu'est-ce que t'attends de moiC'est vrai je souris souventJe vois la beauté au microscopeEt les brindilles dans le ventC'est ma joie mon antidoteÇa devrait pasPrendre tant de placeComme de l'eauQui se change en glaceJe sens mon coeurQui exploseQu'est-ce que j'y peux moiPas grand choseIl est sensible luiOn l'appelle madamePour qui il se prend luiVoir comme il parleOn peut le casserOn peut le tordreOn peut le jeterOn peut le prendreAttends mais de qui je parleMoi à force de l'entendreÇa rentre dans mes veinesComme ça, ça me transformeIl faut que je m'assumeQu'importe la femmeQu'importe la femmeIl faut que je m'assumeQu'importe la femmeIl faut que je m'assumeSous-titres par Jérémy Diaz