L'indifférenceL'indifférence, l'indifférence, l'indifférenceC'est tout ce qu'il reste à présentDe cet amour tendre et violent en alternanceL'indifférence, l'indifférence, l'indifférence, l'indifférencePeu à peu nous a fait sombrerDans un monde froid et figé, sans résonanceQue reste-t-il de nos foliesOù le bonheur jouait sa vieEt de nos rires insouciantsQui venaient au creux des tourmentsC'est chez les peines que l'amour traîneL'indifférence, l'indifférence, l'indifférenceDe ce qui est, de ce qui futIl reste dans nos âmes perdues, dans leur silenceL'indifférenceCe qui devait être un chef-d'oeuvre, notre amourJe ne sais pas quelle manœuvre fut en fourmeNous offrons l'image d'un couple résignéNos sentiments flottent en notre double avortéL'indifférence, l'indifférenceL'indifférence, l'indifférenceQue reste-t-il de nos foliesOù le bonheur jouait sa vieEt de nos rires insouciantsQui venaient au creux des tourmentsC'est chez les peines que l'amour traîneL'indifférence, l'indifférence, l'indifférenceDe ce qui est, de ce qui futIl reste dans nos âmes perdues, dans leur silenceL'indifférence