Libre d'aller quand rien ne va,
Libre d'aimer qui ne m'aime pas,
Jetez toujours sur moi pas de papier,
Mais toi comme seule identité,
identité.
Libre d'aimer l'éternité,
Que tu m'accordes sans y penser,
Libre de croire tous les hasards,
Jetez toujours sur moi,
ma deuxième ombre c'est bien toi,
Libre d'être déçue ou décevante,
Avec le grand amour qui se présente,
Ou s'absente,
s'absente,
s'absente.
Libre d'aimer désufermer,
Ce sentiment qui restera unique,
unique,
unique.
Libre de flâner dans l'avenir,
Libre de partir et revenir,
Jetez toujours sur moi pas de photo,
Mais toi à même la peau, à même la peau.
Libre de couler pour un baiser,
Libre de pleurer dans tes sourires,
Jetez toujours sur moi pas de papier,
Mais toi comme seule identité,
Libre de succomber à la chair,
Et de s'endormir dans la lumière,
Jetez toujours sur moi,
mon sale pasteur passe par ton corps,
Unique,
unique, unique.
Jetez toujours sur moi pas de papier ni de photo,
Mais toi à même la peau, à même la peau.
Libre d'aller quand rien ne va,
Libre d'aimer qui ne m'aime pas,
Jetez toujours sur moi,
c'est toi ma seule identité.
Libre d'aller quand rien ne va,
Libre d'aimer qui ne m'aime pas,
Jetez toujours sur moi,
c'est toi ma seule identité.
Jetez toujours sur moi pas de papier ni de photo,
Mais toi à même la peau,
à même la peau.