Musique
Par une main amie, et pour sécher vos larmes,
Cette nuit a franchi les murs de la prison.
Le navire envahit par pierre d'arado,
Contre au fort, apportant l'hypnole,
Et je suis dans l'effet !
Ah ! n'importe quel prix,
Que je sois libre un jour ou une heure,
Que je vive mon pays,
Et qu'après, en ma vie,
Je meure !
Qu'est-ce que nous, ces perfides,
Oser porter ces pas ?
Que leur faut-il qu'on lui dise du mal ?
Une quelque trahison !
Musique
Quoi qu'il faut,
On s'accomplisse !
Musique
Aux autres enseignures,
Aux prêtres et leurs supplices,
Le peuple ménage en grande,
Que leurs français, leurs armes à la main,
Occupent leur place,
Et qu'au moindre milire,
A la moindre menace,
Musique
Ils m'entendent,
Oui, Seigneur !
Où pas dans ces affraies ?
Qu'après un instant, j'en ferai,
Et l'heure dernière,
A l'arrivée de ma mort !

Dans mon pays,
L'amour,
L'agctua,
L'amour temble ma vie !
Hélas, je prends ton sang.
Afro captivity,
Aux peurs égrasse !
Ó Seigneur !
Et prêt du jeu,
Reclame ma place !
Vous l'entendez ?
Celui qui nous a tous trahi, merite de mourir, mais non pour son pays.
Ah, ah, ah, ah, de tel honneur, je te déclare, et bien, tu devrais t'attendre à cet outrage en signe, ah, non sans lui.
Celui qui nous a tous trahi, merite de mourir, mais non pour son pays.
Tu te piazzi con me, sur l'arco.