Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
Il n'est plus le regret, je dois quitter Carthage.
Idone toi, sans le froid, je suis pas à l'appelant pour briser mon courage.
Mais je le dois, il le faut.
Non, je ne puis oublier ma pâleur.
Rapport de mort, son beau visage, son silence obstiné,
ses yeux fixes et pleins de faussures.
En vain ai-je parlé d'improviseur.
Si je sens l'ombre, me rappelant l'ordre des vieux,
invoquer la grandeur de ma sainte entreprise.
L'avenir de mon fils est le sort d'un Troyen.
La triomphale mort parlait d'est-ce l'improvise.
Mon amour couronné, ma gloire chanceuse,
rien, rien n'a pu la toucher.
S'envainque son silence, j'ai vu de son regard
la terrible éloquence.
L'envoi de mon fils est le sort d'un Troyen.
Ah, qu'en viendra l'estandard suprême à Dieu, heureux d'angoisse et d'un arme bénir !
Comment subibir l'aspect affreux, l'aspect affreux de cette douleur à l'ennuie ?
L'été contre moi-même, l'île contre toi, Ida !
L'été contre moi-même, l'île contre toi, Ida !
L'été contre moi-même, l'île contre toi, Ida !
En déchirant ton corps, en déchirant ton cœur,
éblouiré mon pardon, en suis-je capable ?
En suis-je capable ?
En suis-je capable ?
En un dernier naufrage, ah ! et si je perdis, si je quittais Carthage sans te revoir, ah !
En un dernier naufrage, ah ! et si je perdis, si je quittais Carthage sans te revoir, ah !
Oui, puis sais-je périr, si je quittais Carthage sans te revoir, sans te voir, lâcheté, mépris de son droit, de l'hospitalité ?
Non, non, reina d'Aurélia !
Reina d'Aurélia !
Réina d'Aurélia, âme sublime qui par toi décirée,
Reina d'Aurélia, âme sublime qui par toi décirée,
bienfaîtrise de l'yeah.
Non, je veux te revoir pour la dernière fois
Mais c'est à ma tremblante
Par ainsi que je doute de l'orbe brillante
D'ici je, d'ici je te remetai par un tel désespoir
D'ici je, d'ici je te remetai par un tel désespoir
D'ici je, d'ici je te remetai par un tel désespoir
D'ici je, d'ici je te remetai par un tel désespoir