Marbreuse effaillance
Au pied d'une église
L'horrible silence
Des larmes et du lisse
Soudain il commence
Cet homme en costume
Quelques pas de danse
À titre posthume
La vie se rallume Il tourne, il tourne, il danse
Sur les pavés du parvis Dans ses bras il tient l'absence
Son bel amour qu'on a ravi Il tourne,
il tourne,
il danse
Et c'est encore de la vie Ayons parfois l'élégance
De tournoyer sur les parvis
Alors lentement
D'autres l'accompagnent
Il tient comme avant
L'absente compagne Dans ses mouvements
Tous deux se rejoignent
L'espace d'un instant
C'est la vie qui gagne
Il tourne,
il tourne,
il danse Sur les pavés du parvis
Dans ses bras il tient l'absence Son bel amour qu'on a ravi
Il tourne,
il tourne,
il danse Et c'est encore de la vie
Ayons parfois l'arrogance De tournoyer sur les pavis
Il tourne,
il tourne,
il danse Sur les pavés du parvis
Dans ses bras il tient l'absence Son bel amour qu'on a ravi
Il tourne,
il tourne,
il danse Et c'est encore de la vie
Ayons parfois l'arrogance De tournoyer sur les pavis
Il tourne, il tourne,
il danse Et c'est encore de la vie
Ayons parfois l'élégance De tournoyer sur les pavis