Pourquoi pommader les phrases sont-elles pondues pour les crevés qui font leur boire un peu partoutEt qui triment dur, et qui triment dur, et qui triment dur, et qui triment durJ'ai la tignasse embroussaillée, j'la démêle, j'la dégoise, y'a d'compris des bons boulesOuais j'm'en fous, ouais j'm'en fous, j'm'en fous, j'm'en fous, j'm'en fous, j'm'en fousC'est rigole, boche, ça parait, ça m'dur l'épine et ça m'travailleC'est début d'sècle, dégueulasse, tout est montré et crapulerieJ'te montrais et crapulerie, j'te montrais et crapulerieJ'te montrais et crapulerie, j'te montrais et crapulerieMontré et montré, crapulerie, crapulerie, et crapulerieC'est début d'sècle, dégueulasse, y'a pas à dire, c'est battantN'est-ce pas trouillant, n'est-ce pas troublantPour empêcher les chiens de mordre, on les attache à des saucissesPour empêcher les chiens de mordre, on les attache à des saucissesDes politiches, ben qui vaillent toutes en grèceÇa nous dépend et les pattes, on nous fout en rageCes salauds-là n'en fichent pas tant, une fois les chocolats lichésDans les usines et athénées, ils parlent pas d'bon argentEt pour nous rien n'a rabâché, et pour nous rien n'a rabâchéPour nous rien n'a rabâché, et pour nous rien n'a rabâchéPour nous rien n'a rabâché, n'a rabâchéPour les faroles, pour les malins, on nous exploite, on nous mépriseÇa trime sévère, mais on nous méprise, on nous mépriseMais ça ne paye guère, et pour demain les poches à l'airEt pour demain les poches à l'airLes poches, les poches, allez, les poches, allez, les pochesLes poches à l'air, ça faitMais pas à dire, c'était pas tant, mais c'est pas trouillant, mais c'est pas troublantPour empêcher les chiens de mordre, on les attache à des saucissesPour empêcher les chiens de mordre, on les attache à des saucissesEn deux savates, je torche mes tartinesJe lâche pas le turbin, j'aiguise ma mineEn attendant que ma soif s'épanche, pourquoi je pichonnerai mes flanches ?Et la grammaire de l'école, ma guerre cervique, elle me torche le culNaturellement, je vais pas écrire, comme les niques douilles d'un peu partoutCes niques douilles, je m'en torche le culJe m'en torche, je m'en torche, je m'en torche, je m'en torche le culNaturellement, je m'en torche le culJe suis par lui, il faut des prunes, j'irai incendier les urnesQuand c'est qu'avant, c'est ce qu'il y a monde, ça ne changera rienEvidemment, évidemment, évidemment, évidemmentUne fois fauché, une fois misé, comment continuer à gueuler ?Une fois tout bien abîmé, est-ce qu'on pourra encore se relever ?Une fois tout bien abîmé, est-ce qu'on pourra encore se relever ?En fin de compte, on se demande si une fois tout bien, on pourra bien se releverY'a pas à dire, c'était pas tempsDes spas trouillants, des spas troublantsPour empêcher les chiens de mort, on les attache à des saucissesPour empêcher les chiens de mort, on les attache à des saucisses