Le vent finit de calmer,
Niage y gonfle son vent de l'eau
Dans un oiseau arrête crier
Si l'ancien tourbonne file à eau
La chaleur est lourde,
La toile y plie,
le bois y craque
La
peau y fonde comme fleur bébeau Dans yeux de chien l'angoisse y poque
Demouni espère le premier vent,
Marmaille sert comme Balgonie
Gramoun le front,
coulère saffran Raconte-t'histoire cyclone génie
Coulètresse le ciel comme drame andien Si l'horizon soleil les bat
La mer tient son colère blanc,
L'équilibre dans Saint-Maloya
C'est comme dans la nuit,
Y sous la bétroie fanale
La ligne y pète dans fleur qualité Après fait noir y tisse son voile
Coulètre à cendres à noir,
Y danse y vire y cadence
Partie la tigre qu'on courrier Coute la brande diable la brise
Galet y gonfle comme chatte marron Rempli son ventre, colère la mer
Rafigne y éclate un pépard tout Fondre quelle roche pète son fiel
Canot y balote comme si pieds de mangue Le planche raffine trop tille à la corde
Les crasses azote y bat granite Les trois morceaux y restent en l'air