Sur le coup de midi et demi, Johnny abattit Tony sans histoire.Il lui mit dans les boyaux douze balles de son rigolo et au revoir.La fin tiraillait Johnny, mais il n'avait pas fini son boulot.Car avant d'aller manger, il avait un compte à régler dans le quartier.Johnny s'en alla plus loin, il était une heure moins vingt.Dans un coin, il atten*** Alfredo et lui enfonça dans le dos son couteau.Ce gars-là y avait fait du tort, quand ils étaient dans le Grand Nord, chercheur d'or.Il se ***, je peux aller bouffer, maintenant son compte est réglé, il est mort.Mince, déjà une heure et quart, j'allais oublier le rencard à la gare.Que m'a donné le gros dédé pour aller exécuter une poupéequi nous a vendus salement aux flics qui étaient son amant.En avant ! Tant pis pour la boostify, allons buter de la flicaille, c'est le travail.À trois heures, c'était fini.La poupée était oxy, ze, et Johnny, se, *** puisque je suis lancé,ben j'ai plus qu'à continuer, sans croquer.J'ai noté sur mon calepin, à quatre heures, chaussé d'antin,chez Justin, y'a un coup fumant à faire, faut s'y bouiller une rombière, millionnaire.En rentrant dîner chez lui, il connut d'autres ennuis.Ce jour-d'hui, sa souris qui l'aimait tant, avait suivi le grand Fernand, son amant.De quoi ? De quoi, de quoi ? Fille de Johnny en colère.Un type comme ça, un gangster, oh misère !Je te va payer à chacun, une redingote en sapin, avant demain..................................Et ça lui donna le cafard, mais trop tard, il pleurait, tu m'as fait souffrir,dans mes bras tu pourras plus revenir, te blottir.Mais sa montre marquait dix heures, il se *** je dois reprendre mon labeur, de malheur.C'est pas ce soir que je vais bouffer, j'ai encore un type à tuer, quel métier !.......................................