Le vent semblait souffler sur moi
Menthol, Bigou, Frestagada
Une confiserie moléculaire
S'ouvrait au moindre courant d'air
Quelqu'un pourtant te détrompa
Y'a comme un ératome
Aucun parfum de ce goût-là
C'est mon trop grand imaginaire Qui change le printemps en chimère
Qui voit du beau où y'en a pas Et me fait dire n'importe quoi
L'irresse pouvait sentir pour moi
L'ichir et glisse de tabaga
Un
beau bouquet d'essence primaire Une promesse d'été en hiver
Quelqu'un pourtant te désoula Reçoit cet ératome
Aucun parfum de ce goût-là C'est mon trop grand imaginaire
Qui change le jour en prière
Qui sent du chaud où y'a du froid
Et me fait dire n'importe quoi
Les jours s'insinuaient en moi Café,
dodo, barbe à papa
L'automne à la table des matières
Donnait des envies de sens contraires
Quelqu'un pourtant te stipula
Prend note de l'ératome
C'est ça, c'est ça
Tom
Aucun parfum de ce goût-là
C'est ton trop grand imaginaire Qui croit poisson dans la rivière
Qui remonte l'envers quand y'a l
'endroit Et te fait dire n'importe quoi
Oh oh,
aucun parfum de ce goût-là
C'est mon trop grand imaginaire
Qui change le printemps en chumère
Qui voit du beau où y'en a pas
Et me fait dire n'importe quoi
N'importe quoi