Nhạc sĩ: Jacques Revaux, Michel Sardou | Lời: Didier Barbelivien
Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
D'abord je vais lui dire maman
Je ne veux plus dormir en pension
Et puis je glisserai lentement
Sur les ravages de la passion
Est-ce une maladie ordinaire Un garçon qui aime un garçon
Est-ce une maladie ordinaire Un garçon qui aime un garçon
J'essaierai de choisir mes mots Mais comment peindre un sentiment
Ce que je sais n'est pas nouveau Je me connais depuis longtemps
En aucun cas préoccupé Par les yeux ou les seins des filles
Dans mes nuits j'étais la poupée Qu'on habille et qu'on déshabille
Est-ce une maladie ordinaire
Un garçon qui aime un garçon
Derrière les murs de ce collège Ceux qui font tourner les manèges
Se sont-ils posés la question Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une préférence,
un privilège Qu'est-ce qu'ils vont dire à la maison
Un garçon qui aime un garçon
Est-ce une maladie ordinaire Un garçon qui aime un garçon
Depuis deux jours je n'endors pas
Est-ce qu'ils m'accepteront encore
Apprendre que leur enfant se croit Être un étranger dans son corps
Ce n'est pas comme avouer un mensonge
D'ailleurs je n'ai pas honte de moi
C'est crever l'abcès qui me ronge Et finir en paix avec moi
Est-ce une maladie ordinaire Un garçon qui aime un garçon
Derrière les murs de ce collège Ceux qui font tourner les manèges
Se sont-ils posés la question Y a-t-il un Dieu qui nous protège
Une préférence,
un privilège Qu'est-ce qu'ils vont dire à la maison
Un garçon qui aime un garçon
Y a-t-il un Dieu qui nous protège Une préférence,
un privilège