C'est comme un tremblement subtil dans l'air purTa lueur d'un lundi d'été, une brûlureUn délicieux baiser, une morsureUn pacte secretCe sont deux merveilleux moments où l'on saitCes instants où nos yeux, flèches d'acierComme deux fleurs et blancs se sont croisésAvant d'échangerC'est comme un phare dans le soirC'est comme un vœu silencieuxC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feuComme deux invisibles fiançaillesQue trahissent un geste, un détailUn regard qui couronne et qui médailleFait battre les sangsQuelle est la part de chance, du divinEt la part du hasard, de l'instinctQui sur les voiles de nos destinsM'impacte en secretC'est comme un phare dans le noirC'est comme un désir impérieuxC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feuC'est comme un phare dans le soirC'est comme un vœu silencieuxC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feuC'est comme un phare dans le soirC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feuC'est comme un tremblement subtil dans l'air purTa lueur d'un lundi d'étéTa brûlure, ton délicieux baiserUne morsure, un pacte secretC'est comme un phare dans le noirC'est comme un désir impérieuxC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feuC'est comme un phare dans le soirC'est comme un vœu silencieuxC'est comme un phare et les autres n'y voient que du feu