Tu es le genre de femme qui me plaît et lorsque je t'ai rencontré, tu te méfiais grave de
moi.
Je me suis battu pour te mettre en confiance, pour qu'en ma présence, tu te lâches.
J'ai sorti le grand jeu pour te faire kiffer, j'voulais te plaire autant que tu m'plaises.
J'voulais t'faire rêver, j'y fais comme si j'étais l'mec parfait, pour te séduire
sans pitié, j'ai mis toutes les armes de mon côté.
Tu as des formes si belles et si sauvages, face à elles, faudrait mettre tous les amontages.
Je crois que j'ai sorti toutes tes faces de mon exique et je perds la raison tant tu m'exiques.
J'avoue que j'ai déconné alors que toi t'étais trop bien, qui insiste et j'me suis
infesté dans ton quotidien.
Tu t'chattais comme le diable, je te suivais comme un chien, je n't'ai pas *** que dans
ma vie j'avais déjà quelqu'un.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi j'suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Tu es redoutable, tu es formidable, moi j'suis misérable, si tu es bien naze, je suis coupable
maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je caise le mal.
En ma faveur le temps a joué, mon travail a payé, la confiance s'est installée,
mes efforts n'ont pas été vains, ton regard a changé, tu t'es mise à clasher, tu as
géré ta vie en fonction de mienne.
Puis est venu le fameux jour où tu m'as *** que tu meurs, c'était le début de tes
problèmes, car c'est à ce genre de moment que nous revenons et qu'on t'aime vivre.
Tout le monde me connait dans ton entourage, je t'appréciais mais ailleurs j'ai déjà
engagé, j'ai mis un terme à notre histoire mais j'ai gardé l'image de ces larmes dans
tes yeux.
J'avoue que je les connais alors que toi t'étais trop bien, j'ai insisté, je me suis incrusté
dans ton quotidien, tu es tchatché comme un diable, je te suivais comme un chien, je
ne t'ai pas *** que dans ma vie j'avais déjà quelqu'un.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
La roue a tourné, les gens ont parlé, ma femme m'a quitté, maintenant je suis seul,
tu disais que tu m'aimais, c'est le moment de le prouver, bébé recommençons sur l'bonne
base, ne me sors pas de grandes faces, entendu je suis seul, tout en supplie mon bébé,
arrête tes phases et viens.
Regarde-moi, ne me déteste pas, laisse-moi revenir, j'ai tellement mal, embrasse-moi,
et rappelle-toi.
Regarde-moi, ne me déteste pas, laisse-moi revenir, j'ai tellement mal, embrasse-moi,
et rappelle-toi.
J'avoue que je déconnais alors que toi t'étais trop bien, j'ai insisté, je me suis infrusté
dans ton quotidien, tu chatillais comme le diable, je te suivais comme un chien, je ne
t'ai pas *** que dans ma vie j'avais déjà quelqu'un.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.
Ta beauté est si redoutable, tu es formidable, moi je suis misérable, si tu es bien naze,
je suis coupable maintenant, je pète un câble, maintenant que je souffre à mon tour, je
caise le mal.