***-moi quand tu pars, le sommeil peut m'attendreJ'ai encore la patience de rester sans y croireTes yeux remplis de noir reflètent la décadenceTous les jours se ressemblent dans cette vie que tu cachesTout ce que tu rattraces, si tu t'arrêtes pasJe vois déjà mon cœur écrasé sur le marbreSortir de l'impasse, je serai pas si c'est pour que je me rappelleToujours plus que la veille, tout ce que j'aurais pu faireT'arrives défoncé au dîner de familleTrop dur de parler, trop dur de sourireAttitude à vomir, t'essayes de crier sans y parvenirTu penses à ce que j'ai ***, à ce que t'aurais pu faireLes envies m'en relâchent, mais comment m'en défaireComment te dire en face que doucement je me perdsTout ce que je vais rater, si je ne m'arrête pasJe vois déjà mon cœur écrasé sur le marbreSortir de l'impasse, ne reste pas si c'est pour que tu te rappellesToujours plus que la veille, tout ce que t'aurais pu faireT'arrives défoncé au dîner de familleTrop dur de parler, trop dur de sourireAttitude à vomir, j'essaye de crier sans y parvenirJe pense à ce que j'ai ***, à ce que j'aurais pu faireTu penses à ce que j'ai ***, à ce que t'aurais pu faireTout ce que je vais rater, si je ne m'arrête pasJe vois déjà mon cœur écrasé sur le marbreSortir de l'impasse, ne reste pas si c'est pour que tu te rappellesToujours plus que la veille, tout ce que t'aurais pu faire