Du fumier dans les couloirsIl pourrait bien y avoirUne sortie vers le cielAu-delà d'innombrables miroirsDe rideaux, de satins noirsDe voies confidentiellesElena, ces choses ne changent pasEt je frappe encore une foisÀ la porte de plus belle vieElena, ces choses ne meurent pasJe me perds comme autrefoisDans les chambres du grand hôtelQu'a-t-ce mon âme, éclaire-ci mes yeuxJe deviens bien trop vieuxPosségeux d'un ennui mortelQu'a-t-ce mon âme, éclaire-ci mes yeuxJe deviens bien trop vieuxPour effacer la marée du grand hôtelDu fumier dans les couloirsIl pourrait bien y avoirUne sortie vers le cielEt tes yeux, épinglés à la sueurÉclaboussant les mursMe déchirent les ailesElena, ces choses ne changent pasEt je frappe encore une foisÀ la porte de plus belle vieElena, ces choses ne meurent pasJe me perds comme autrefoisDans les chambres du grand hôtelJe caresse votre âme, j'éclaire-ci vos yeuxVous devenez trop vieuxPosségeux d'un ennui mortelJe caresse votre âme, j'éclaire-ci vos yeuxVous devenez trop vieuxPour sacrifier un rituel du grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtelDu grand hôtel