La vie ne prend jamais de gants, non La vie te pend au fil des désillusions Elle l'a frappée, t'étais pas prêt Mais redresse-toi, avance, et on verra après Soit tu plonges le premier coup qu'on te donne Soit t'esquives et tu te bats même quand t'es sonné Tu t'en fous mais nous on t'aime comme personne Tu te laisses vivre mais on ne va pas te laisser tomber Tu promènes tes sanglots, tes sanglots, tes sanglots T'es qu'à horreur Une larme encore étale, coeur qui déborde T'es qu'à horreur Faut se relever même le coeur dans les cordes Dans les cordes, dans les cordes, dans les cordes La vie ne prend jamais le temps, non Quand toi tu traînes, elle ne freine pas pour autant T'entends même plus les coups de klaxon Y'a pas d'airbag prévu pour les âmes qui déconnent Tu te soustrais à toutes les chances qu'on te donne Multiplie les incidents de parcours Sur la route, les heures de pluie s'additionnent Et divisent toute la beauté de tes jours Tu calcules tes sanglots, tes sanglots, tes sanglots T'es qu'à horreur Une larme encore étale, coeur qui déborde T'es qu'à horreur Faut se relever même le coeur dans les cordes Dans les cordes, dans les cordes, dans les cordes Des hématomes collent dans mon corps d'une tonne de jolies couleurs Comme un fantôme, je peux traverser les murs de la vie sans douleurs T'es qu'à horreur Une larme encore étale, coeur qui déborde T'es qu'à horreur Faut se relever même le coeur dans les cordes Dans les cordes, dans les cordes, dans les cordes T'es qu'à horreur Une larme encore étale, coeur qui déborde T'es qu'à horreur Faut se relever même le coeur dans les cordes Dans les cordes, dans les cordes, dans les cordes