pour un chien amoureux d'une
C'est à croire que le chien criait sa famine comme un vieux troupeur
Va-t'avoir que poubelle chanterait sa belle mine par un autre ouvert
Les grands yeux gris d'une macadame tartine et le drame
Chant pour l'échalée,
les épluchures d'une langue obscure
Sous le manteau du soir
Un père sera toujours le fil accompagnant de la femme
C'est à croire que le chien a piché ma mine sous un réverbère
Vitre d'arbre de poêle qui déçavait le mine à fond de misère
La bête s'en poussa de plus belle
que le but ful Se grippant sur le mur
sur une épine il court maléchine
Sous le manteau du soir
Hypnose, la rose détourna le ruisseau du despin
Si,
matin,
le premier papillon se pose en coussin
sur tes cheveux
S'il te souffle la fable du temps et des choses
Tu es au seuil
d'un long parfum
Tôt,
soleil,
si les épidorges se posent en cliché à tes grands yeux
S'il te chante la fable du temps et des choses
Tu es au pied des lendemains Quand la lune
sous les plumes de la nuit
te cause Fige un duvet éternel
Quand ta bouche
me parle du temps et des choses
Tu es au seuil
d'un bon sommeil
Si,
matin,
le premier papillon se pose
en coussin
sur tes cheveux
S'il te souffle la fable du temps et des choses
Tu es au seuil
du plus grand des festins