This night, unbearable insomnia, madness gnaws at me, I am what I am. I suffer this cacophony, which ties my head to its mountain of harmony. She tells me, you will pay for your crimes, whatever happens. We drag these chains, these pains. Je vous menuis à la saxophonie, au requiem. Tu en perds des primes, ce que je sème. Je vous menuis à la saxophonie et au blasphème. J'avoue, je maudis tout ce qui sème. L'ennemi tapit dans mon esprit, fête mes défaites. Sans répit, il me défie. Je renie la fatale hérésie qui ronge mon être. Je veux renaître, renaître. Je vous menuis à la saxophonie, au requiem. Tu en perds des primes, ce que je sème. Je vous menuis à la saxophonie et au blasphème. J'avoue, je maudis tout ce qui sème. Pleurent les violons de ma vie, la violence de mes envies. Symphonie, symphonie. Des concerts temps, concerts tours. Je joue sans toucher le bout. Mon talent sonne fort. Je noie mon ennui dans la mélomanie. Je tue ma phobie dans la désharmonie. Je vous menuis à la saxophonie, au requiem. Tu en perds des primes, ce que je sème. Je vous menuis à la saxophonie et au blasphème. J'avoue, je maudis tout ce qui sème. Je vous menuis à la saxophonie. J'avoue, je maudis tout ce qui sème.