Je pleure des larmes de crocodile, certaines fondées, d'autres futiles,
Depuis que tu es parti, Paris est sous mes eaux,
C'est ton fantôme qui joue avec une bombe lacrymo,
Ou bien il souffle dans mes yeux, Et son haleine mentale les fait couler nos adieux.
Je pleure, je pleure, comme une enfant,
Mon lieu, me *** ma mère, tu pisseras moins souvent.
Je pleure à noyer mes chevilles, je pleure à émouvoir les genilles,
Depuis que tu es parti, Paris est tellement moins beau,
C'est ton fantôme qui rage sur les murs nomaux,
Ou un voile de regret sur mes yeux, la scène est triste depuis qu'elle a bu nos adieux.
Je pleure, je pleure, comme une enfant,
Ton lieu, me *** ma mère, tu pisseras moins souvent.
Je pleure au point que j'ai maigri, tout n'est donc pas perdu,
Depuis que tu es parti, je bois beaucoup d'eau,
C'est ton fantôme qui me force à fumer trop,
Demain j'aurai de nouveaux yeux, pour aimer, pour chérir et pour croire au bon Dieu.
Je pleure, je pleure, comme une enfant,
Ton lieu, me *** ma mère, tu pisseras moins souvent.
Tant vont mes peurs à l'eau, qu'à la fin elles me noient,
Mais Paris me protège, oui, Paris est à moi.
Je pleure, je pleure, comme une enfant,
Ton lieu, me *** ma mère, tu pisseras moins souvent.
Tu pisseras moins souvent.