MusiqueSeuls dix mille ou cinq milliardsEt d'abord qui on connaîtDans cette armée du brouillardLe cielLe ciel c'est où, le ciel c'est quandEt c'est quoi ces tout petits points blancsQue l'on voit au bout du tunnelQui vient jamais quand on l'appelleEst-ce que c'est vraiment ça le cielEnviron combien d'agneauxEnviron combien de loupsDans les rangs de ce troupeauOù s'abellent un peu partoutSur qui veillent les bergersSur qui tirent les chasseursY'aurait de quoi qu'en bergerMais j'suis marcheur pas penseurJ'sais seulement que j'n'en peux plusEt que si j'étais des brouillardsElles seraient de làDe la revueLa grande armée du brouillardLe cielLe ciel c'est où, le ciel c'est quandEt c'est quoi ces tout petits points blancsQue l'on voit au bout du tunnelQui vient jamais quand on l'appelleEst-ce que c'est vraiment ça le cielA qui appartient la mainQue je sens là dans la mienneDepuis pas mal de cheminEst-ce que c'est toujours la mêmeEst-ce qu'elle me connaît seulementEst-ce qu'elle sait que je suis moiEst-ce qu'elle m'aimera autantQuand enfin elle me verraLorsque mes yeux vont s'ouvrirSur une impossible auroreQu'est-ce que l'on va découvrirLa lumière ou bien la mortLe ciel c'est toujours la même choseLe cielLe ciel c'est où, le ciel c'est quandEt c'est quoi ces tout petits points blancsQue l'on voit au bout du tunnelQui vient jamais quand on l'appelleEst-ce que c'est vraiment ça le cielEst-ce que c'est vraiment ça le ciel