Encore un, perdu sans indice, retrouvé
À peine connu, déjà évaporé
Encore un, en transit, encore un de passage
Encore un qui te quitte
Tu tournes la page, mais ton cœur m'entarine
On l'épluche trop souvent, ta dessert d'héroïne
D'un mauvais roman
Et tes princes t'opèrent d'un siphon au
fond
Trois petits tours, deux claquettes et puis
s'en vont
Et puis s'en vont
Si j'avais l'antidote Où chacun d'amour je te rendrais plus forte
Pour que tu t'aimes un jour Si j'avais l'antidote
À tes peines de cœur je te rendrais plus forte
Petite sœur,
allez viens Je t'emmène suivre le vent du nord
Au fil des éoliennes de port en port Allez viens,
ne pleure pas tu trouveras des trésors
Cachés au fond de toi, tu n'as rien vu encore Et
ton âme en détresse
Dans la valse des aimées que le vent la caresse
Et l'emporte apaisée
Que le vent lui apprenne la confiance et l'audace Allez viens,
je t'emmène,
tu verras que tout passe
Tu verras que tout passe
Si j'avais l'antidote
Où chacun d'amour je te rendrais plus forte
Pour que tu t'aimes un jour Si j'avais l'antidote
À tes peines de cœur je te rendrais plus forte
Petite sœur,
regarde-toi Tu es l'île dont rêvent les marins
Cette reine fragile qui inspire les cris vingt-trois
Tu as séduit le plus grand dieu des vents Tu es celle qu'on choisit
Les muses,
les titans m'aiment Si tu ne le vois pas
Tu es bien plus encore Ce n'est pas moi qui *** cela
C'est le vent du nord
Alors ne laisse personne s'amuser avec toi
Et si tu t'abandonnes Que ce soit pour un roi
Que ce soit pour un roi
Si j'avais l'antidote
Où chacun d'amour je te rendrais plus forte
Pour que tu t'aimes un jour
Si j'avais l'antidote À tes peines de cœur je te rendrais plus forte
Petite sœur
Si j'avais l'antidote À tes peines de cœur je
te rendrais plus forte
Petite sœur