Ce qui est *** est ***Brun, vert, pervers ou bleuPour pouvoir l'autre se rincer mieuxQui donc, Lady Goïdiva, te fit en arriver là ?Tournipoulé au fric qui met l'or en tasUn prénom prédestiné pour piquer tous les deniersDes pauvres petites gens dont tu t'y esCe qui est *** est ***, on y vaAinsi parlait Lady GoïdivaJe montre plus de peau, toi tu prends moins d'impôtsLéofric s'exécuta au troncCar de voir sa moitié toute nueSur la bête qu'elle montait accrueIl était tout tremblant que le vent se levanteLes cheveux n'en fassent tout autantC'est toi, Lady Goïdiva, qui la première sauvaLe petit épargnant qui vit de son basIl te l'orniait en passantEt c'est depuis cet instantQu'on l'a surnommé le cochon de PayanMes regards innocents ou lubriquesLe plus à plaindre, fulé au fric, conte de chasseurChester, à qui ta douce chairGoïdiva coûte un beaucoup trop cherLéofric de Chester, quel dommageMais l'histoire vaut sans doute un fromage