Il y a quelque temps,
plus précisément il y a longtemps,
je voulais connaître la ronce,
pétale par pétale.
Au milieu de la pulpe,
me souriait
une sémence,
ronde,
rude,
brussée.
Et la sémence,
je s'émet dans le semoir,
dans la terre,
dans la terre d'une terre inerte.
Et le manque que j'ai moulé dans le blanc,
c'est des dangers que j'ai cru pouvoir dresser
le monde.
Dans la sémence,
d'avance,
et d'espérance,
à me lancer et dépasser
tous ces pensées tellement je lui avais appris,
tant je lui avais promis.
J'ai compris que j'ai bien ***.
La sémence,
pas naissance,
pas présence,
c'est le signe,
c'est la ligne
de ma vie.
Tu as forcé,
tu as fripé, tu t'as pété,
cet étranger dont j'ai cru avoir vu dans le monde.
Dont j'ai cru avoir vu dans le monde.
J'ai cru que j'avais compris
que je m'y ai bien ***.
La sémence,
pas naissance,
pas présence,
c'est le signe,
c'est la
ligne de ma vie.