Bien sûrComme toiFracturePoussée seule sur un tas d'orduresTortureRedoutée d'être une impostureFroidureQui nous gère sous le cœurLes rouilles, les jointuresOui, je les ressensQuand les larmes de l'enfanceToute la vie sont murmuresOù sont l'épaule et les motsQui te rassurentOui, les armes de l'enfanceTe font le cuir et l'armureEt assèchent les rivièresQue tu pleurais hierGrifureJe lèche ta triste figureMorsureTon sang et ses éclaboussuresRoulureEt ça l'eau qui peu à peuNous emboute à l'usureOui, je les ressensQuand les larmes de l'enfanceToute la vie sont murmuresOù sont l'épaule et les motsQui te rassurentOui, les armes de l'enfanceTe font le cuir et l'armureEt assèchent les rivièresQue tu pleurais hierBien sûrJe connais tes plaiesTes blessuresSi anuresTes souvenirsLa peau dureFédureA chaque jourQu'à son cheminChacun ses déchiruresMais je les ressensComme toiOui, je les ressensComme toiOui, je les ressensComme toiOuiJe les ressensComme toi