Bien sûrPrenez-toiFracturesPoussées seules sur un tas d'enduresTorturesRedoutées d'être une impostureFroiduresQui nous gersent le cœurEt voulent les lointuresOui, je les ressensQuand les larmes de l'enfanceToute la vie sonne au murOù sont l'épaule et les motsQui te rassurentOui, les armes de l'enfanceTe font le cuir et l'armureEt assèchent les rivièresQue tu pleurais hierQue les fûts purentJe lâche ta triste figureMorsurePlus d'humourTous en l'aissais éclat de sueurRoulureLes salauds qui peu à peuNous ont à l'usureOui, je les ressensQuand les larmes de l'enfanceToute la vie sonne au murOù sont l'épaule et les motsQui te rassurentOui, les armes de l'enfanceTe font le cuir et l'armureEt assèchent les rivièresQue tu pleurais hierBien sûrJe connais tes plaies, tes blessuresSi anure, tes souvenirs ont la peau dureC'est dur, à chacun son cheminChacun ses déchiruresMais je les ressens comme toiOui, je les ressens comme toiOui, je les ressensOui, je les ressens comme toiOui, je les ressens comme toiOui, je les ressens comme toi