Nono,
t'as nos danses un coup,
mon gars,
ils grattent nos danses un coup,
nous deux.
Danser ?
Mais bien,
tu vois pas,
dans l'ambiance,
on a nos danses un coup.
Tu vois ?
On a vu la case dans laquelle il est,
vous voulez danser,
ou là ?
Quelle case ?
Tout ça,
on la laisse traîner dans la maison,
on veut danser,
là,
cette heure ?
Mais elle laisse pas rien traîner,
moi,
qu'elle a le coup,
je m'en laisse traîner.
On te prend ça dedans,
là,
t'es en train de manger.
Tu connais bien,
il me prend ce piment,
on en a depuis deux ou trois.
Mais ***-lui qu'il y a un, moi, là.
Oh là là !
Mais ***-lui qu'il y a un p'tit.
Tout vient là, en verre.
Mais ***-lui qu'il en fout, qu'il passe rien.
Mais c'est pas possible, ça.
Tout en même chose.
Ah, non, hein ?
Mais t'es pas un con.
Non, hein ?
C'est pas possible, ça.
Tu fais pas rien dans la case,
tout le temps tu traînes dans son garage,
mon gars,
que tu aimes beau,
je suis son coloteau.
Sinon, tu restes devant la boutique,
au cassavla avec tes comiques,
l'odeur de ronfle,
le soin,
la case,
y'a en bombe.
Qu'est-ce que tu fais, là, sans soulier ?
Non, là, pas moi, ça.
Qu'est-ce que tu fais,
là,
tout seul,
là,
au fond ?
Non, c'est pas moi, ça.
Qu'est-ce que tu fais, là, hein ?
Non, pas toi, non.
Oui, c'est moi, ça.
Qu'est-ce que tu fais, là, non, moi, hein ?
Non,
c'est pas moi, ça.
Tu es comme ton vieil maman,
ou tes mafies,
tu parles,
enfin tu crois, y'a un longuet temps.
Moi, là, c'est ça, mon bon enfant.
Qui ça,
le soir,
il dort dans ton goclo,
crie à tes chéris,
mon l'amour coco.
Qui ça, les sauvages comme s'animaux, ouais.
L'heure qui arrive, le week-end, tout le peu de
marmailles,
tu y engraines,
tu gardes ton télé,
personne ne vient y bouger.
Merde !
Tant qu'à moi,
moi,
la pognifole,
les conneries,
les matches de football,
le dépouillement,
je joue au match,
ça me pète à moi.
Qui c'est, raton ?
Qui ça, la donne à tes cinq enfants ?
Oui, ça, toi, ça.
Qui, qui occupe ton vieil maman ?
Non,
là, pas toi, ça.
Qui ça, il crie, il est jamais content.
Oui, c'est ça, c'est ça, moi.
En plus de ça,
lui,
il baisse mon argent,
ouais,
mon argent de travail.
Là-bas, vous allez voir,
tu es l'écho en main, l'asticot.
Il commence un pétro,
chaque fois, tu t'emmènes d'ici mon dos.
Qui ça,
le soir,
il dort dans ton goclo,
crie à tes chéris,
mon l'amour coco.
Reste avec moi, mon petit oiseau.
Petit oiseau,
petit oiseau,
petit oiseau,
tu es comme la pluie.
Sors devant moi, chaper, chaper, chaper, chaper.
Tu ne veux plus voir, tu ne veux plus voir.
Allez,
allez,
allez,
allez,
chaper,
chaper,
chaper,
assez,
assez.
Moi, la sais,
moi, la sais, moi, la sais.
Viens de côté de moi, mon chéri, dodo.
Viens de moi, là, sors, dodo.
Si tu veux bien aller faire un tour.
Sors devant moi.
Un petit câlin, des fois par jour.
C'est pas à cause des fois.
Si dans le temps, on a fait dans la cour.
Dans la cour, sors d'où là-bas, d'où.
Tu veux bien aller comme avant,
mais tu j'y appuie,
mon maman.
Non. Mais essaye une dernière fois,
après ça,
tu es ma go dans le bois.
Qui ça,
le soir,
il dort dans ton dos,
qui ça,
les gentils,
crie à tes cocos,
mon chéri, l'amour, mon petit oiseau.
C'est ce que j'ai.
Viens embrasser nous, oui, comme il faut.
Allez, on n'a pas.
Viens, mon petit, dodo, là-bas, un carré.
Chaper, chaper, chaper, chaper, chaper.
Moi, je suis râteau et que ma chance est.
Contre moi, mon petit bonbon, coucou.
Contre moi, chéri, mon petit amour.
Viens, dodo, nous faire un petit carré.
Attends, chéri, ramasse mon petit chapeau.
Allez, dodo, nous faire battre un petit carré.