LaMarida c'est ma rivièreComme la Seine et la tienneMais il n'y a qu'un mon pèreMaintenant qui s'en souvienneQuelquefoisEt ne me reste plus rien,pas la plus pauvre poupée,plus rien qu'un petit refraind'autrefois.La la la la lalaLa la la la lalaLes oiseaux de ma rivièreNous chantaient la libertéMoi je ne comprenais guèreMon père lui savaitÉcoutezÉcoutez Quand l'horizon s'est fait trop noirTous les oiseaux sont partisSur les chemins de l'espoirOn les a suivisà ParisDe mes dix premières années,il ne me reste plus rienRien,et pourtant les yeux fermésMoi j'entends mon père chanterce refrain...