Mes mains sortant des jupesMadame, vous m'aviez mis l'amour dans la rameAmour de quelques jours, oui, mais premier amourLe corps d'une femme nue, paysage inconnuMais là, mon cœur, MadameC'est le soleil d'automne décolleJe vois, je lis, MadameDans ce journal, la gare de BayeuxClaudine, Géraldine, Benoît et FrançoisOn a douleurSon père et sa mèreSes soeurs et ses frèresOn a douleurUn été en SamaïUn ange qui me toucheLe soleil qui se coucheOrange sur votre boucheEt la fenêtre ouverteSur votre beauté découverteMadame, Madame, MadameEt pour quelques instantsLa femmeClaudine, Géraldine, Benoît et FrançoisOn a douleurSon père et sa mèreSes soeurs et ses frèresOn a douleurDans la gare de BayeuxÀ travers la verrièreCe soir, le soleil donneCette lumière légèreLes gens qui courent, qui passentQui fredonnent, qui se téléphonentLe temps, l'amour, l'espaceUn soir d'automneGare de BayeuxMadame, Madame, MadameGare de BayeuxMadame, Madame, MadameJacques, Madame, Madame