Chaque mester tenait les siens.
Il travaillait pour la carlingue,
j'aimerais me promener.
Je me promenais avec un instrument de femme et
leur femme travaillait le fer pour la carlingue.
Et elles ne se promenaient pas.
J'ai abandonné les balais quand j'ai vu que je prenais
trop de scandaleux et avant qu'ils ne me gueulent,
j'ai pris un grand balai quand je devais commencer à
ramasser les déchets du durable qui traînaient par terre.
Quelle stèse avez-vous déjà vue ?
Tant de gens dans la rue.
La police qui a condamné toutes les issues.
Tous ces hurlements dans l'air.
Un de vous glacé, même les plus austères.
On voudrait revenir en arrière,
avant l'enfer
d'hier.
Ou même en pleine hiver.
Savez-vous comment cette folle après-vent
chère a remis le couteau dans ses amants ?
Tendrement
et avec diligence,
élégance et référence,
le boucher du coin en a fait l'effraie.
Quelle stèse ! Y'a du sang sur mon plancher.
Trop d'amour, mon amour.
Trop d'amour, mon amour.
Quelle stèse ! Y'a du sang sur mes volets.
Trop d'amour, Dieu d'amour.
Trop d'amour, Dieu d'amour.
Le geste,
le geste,
mon geste.
Le geste,
le geste de l'augresse.
Le geste, le geste, mon geste.
Le geste, le geste.
Quelle stèse ! Enfin on l'a attrapée.
À la poste, elle se cachait.
Sous le facteur, ses jambes déployées.
Comme elle aime.
Et puis ils l'ont pendue, la folle,
s'en crossait dans la rue.
Même les yeux du diable n'y ont pas cru.
Quelle stèse ! Y'a du sang sur mon palier.
Trop d'amour, mon amour.
Trop d'amour, mon amour.
Le geste, le geste, mon geste.
Le geste, le geste.
Quel geste !
Le geste, le geste, mon geste.
Le geste.
Đang Cập Nhật
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