La nuit a retiré ses voiles, l'ange doux le paraît à l'horizon.À la poisson dans les étoiles, l'eau et graines au carillon.L'une après l'autre s'envole, les sœurs, les sœurs, leur fardeau, le même premier point de trêve.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent, tous s'envolent.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent.Les ciels pleurent.La terre s'éclate, la terre s'éclate, midi repense et *** à moi.Et dans sa lampe d'étincelle, il paraît fier à l'horizon.L'une après l'autre s'envole, les sœurs, les sœurs, leur fardeau, le même premier point de trêve.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent, tous s'envolent.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent.L'un soit tout empli d'allégresse, descendre au village de l'automne.C'est là l'excuse de tendresse.Il fait si beau sur les chemins.L'une après l'autre s'envole, les sœurs, les sœurs, leur fardeau, le même premier point de trêve.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent, tous s'envolent.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent.Elles volent, volent, volent, tous s'envolent.