Oh,je voudrais tant que tu te souviennesCette chanson était la tienneC'était ta préférée,je croisQu'elle est de prévérer CosmasEt chaque fois les feuilles mortesTe rappellent à mon souvenirJour après jour,les amours mortesN'en finissent pas de mourir.Avec d'autres, bien sûr, je m'abandonneMais leur chanson est monotoneEt peu à peu je m'en diffèreA cela il n'est rien à faireCar chaque fois les feuilles mortesTe rappellent à mon souvenirJour après jour,les amours mortesN'en finissent pas de mourir.Peut-on jamais savoir par où commencent Et quand finit l'indifférence,Passe l'automne, vienne l'hiver Et que la chanson de prévèreCette chanson,les feuilles mortesS'effacent de mon souvenirEt ce jour-là,mes amours mortesEn auront fini de mourir.Et ce jour-là,mes amours mortesEn auront fini de mourir.