Les Genoux CouronnésDites l'âge cancre, disons plutôt l'enfancePuis l'on va comme un pape revenant de voyageRetrouver le bonhomme qui n'a bientôt plus d'âgeQu'on appelle le pépé du jardin du lucotCe magicien qui gueuleSans lâcher son mégotLa barbe à papaPuis l'on porte à la bouche la première cigaretteQu'en importe le nomLe goût puisqu'il suffit du gestePlus l'on fait de fumée, plus l'on masque l'enfanceVous ***es l'âge bête, disons l'adolescenceCaressant les cheveux de son premier émoiLa main cherche peut-être ce que savent les doigtsCe nuage oubliéJardin du LuxembourgFait de sucre glacéDe miracles et d'amourLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaEt me voici adulteC'est comme ça que l'on ***Surveillant le tumulte de mes très chers petitsHabillés en dimancheIl ne sera pas question de se poisser les doigtsNi de se mettre au mentonDe la barbe à papaJe crois moi qui ne crois vraiment pas à grand choseQue lorsque l'on viendraM'apporter quelques rosesBref quand je boufferai du dessous des lilasVous ***es l'âge vieuxMais disons l'au-delàJ'entendrai quel que soit mon lieu de reposanceCette voix qui viendra du fin fond de l'enfanceJe verrai ce visageJe verrai ce visageJardin du LuxembourgPrès du kiosque à JoujouQue les plus qu'à son tourLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à papaLa barbe à farce, la barbe à farceLa barbe à farce, la barbe à farce