Par la peur de te perdreQuand le doute m'effleureEt tend mon cœur de noirJ'en déduis que je t'aimeJ'en déduis que je t'aimePar le temps que je prendsPour ne penser qu'à toiPar mes rêves de joursOù tu règnes en hiverA ton corps désiréDe mon corps qui s'affoleEt l'angoisse à l'idéeQue tu te joues de moiJ'en déduis que je t'aimeJ'en déduis que je t'aimePar le temps que je prendsEt le froid qui m'étoileLorsque je t'aperçoisPar mon souffle coupéEt mon sang qui se glacePar la désolationQui réduit mon espaceEt le mal que souvent tu me faisMalgré toi, j'en ai rien à te direPar la contradictionDe ma tête et mon cœurPar mes vingt ans perdusQu'en toi je réalisePar tes regards lointainsQui parfois me suffisentEt me font espérerEn quelques jours meilleursJ'en déduis que je t'aimeJ'en déduis que je t'aimePar l'idée que la finPourrait être un débutPar mes joies éventréesPar ton indifférencePar ton indifférencePar tous les mots d'amourQui restent en souffrancePuisque de te les direEst pour moi défenduJ'en déduis que je t'aimeJ'en déduisMon amourMon amourMon amour