Je sais jamais si tu récis, tu ridiculises et déliresNos regards, nos amours, sans un ou moindre art à attendrirSi j'arrive à rivaliser pour l'or de rareux avenirsJe sais jamais si ta caresse est lente à rester sans saveurUn oubli, un geste à la place, réservé à celle de ton coeurSi je dois retrouver l'adresse des rendez-vous manqués, mon coeurJe voudrais m'asseoir avec toi à la terrasse d'un caféJe voudrais m'essayer parfois à vivre nos nuits de journéeSans cache-cache maladroit, de l'ombre à l'ombre s'inviterMême si les regards nous rattrapent, quand la lumière sur nous dérapeSouris, le temps suspens son vol, crois pas je fige et puis s'envoleSouris, ces mots battent de l'air, trois pigeons flanchent, puis s'envolentJe sais jamais si tu t'appliques à l'évoquer sans magnifiqueL'autre contre qui tu me troques parce que tes sentiments s'étriquentSi je provoque en toi l'attaque d'un coeur trinquant à contre-éthiqueJe sais jamais s'il me dévoile, si à sa vue j'ai de l'éclatS'il a pensé de moi l'éveil, la vue de ma peau sous les doigtsS'il y a son coeur il me dévoile, y'a si peu d'îles qui volent à moiJe voudrais m'asseoir avec toi à la terrasse d'un caféJe voudrais m'essayer parfois à vivre nos nuits de journéeSans cache-cache maladroit, de l'ombre à l'ombre s'inviterMême si les regards nous rattrapent quand la lumière sur nous dérapeSouris, le temps suspens son vol, trois pages figées puis s'envolentSouris, ces mots battent de l'aile, trois pigeons flanchentEt puis, et puis, je voudrais m'asseoir avec toi à la terrasse d'un caféJe voudrais m'essayer parfois à vivre nos nuits de journéeJe voudrais m'asseoir avec toi à la terrasse d'un caféJe sais jamais, je sais jamais si tu voulais, si j'aimeraisSous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org