Je ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilJe ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilJe ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilJe ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilJe ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilJe ne serai qu'un oiseau au-delà du réveilC'était à Paris, il était déjà tardPeut-être à minuit dans une cité dortoireLe lieu, le moment, à vrai dire, ne compte pasCe dont je me souviens, c'est l'odeur de tes drapsTout avait commencé lors d'une soirée de plusOn a trinqué dans les yeux jusqu'au terminusJ'avais un grand sourire et t'avais un rictusJ'en voulais beaucoup, t'en voulais beaucoup plusTu m'as proposé ce que j'espérais bienTu m'as pris par surprise, je t'ai prise par la mainOn a marché un peu ou longtemps, je ne sais pasCe dont je me souviens, c'est le bruit de tes pasOn est entrés dans ta chambre pour l'ultime échangeOn a laissé se mélanger nos démons et nos angesDemain matin sûrement tout nous semblera fauxAu-delà du réveil, je ne serai que de tropAu-delà du réveil, je ne serai que de tropAu-delà du réveil, je ne serai que de tropC'était à Paris, on était déjà fousA midi, à minuit, je ne sais plus, tout est flouLe lieu, le moment, à vrai dire, ne valent rienCe dont je me souviens, c'est la douceur de tes mainsTout avait commencé lors d'une soirée de tropOn a traqué tous les deux bien après l'AngélusOn a tout gagné en ratant le dernier métroJ'avais plein d'idées, t'en avais beaucoup plusTu m'as proposé ce que j'avais bien sentiJe t'ai prise par la main, tu m'as pris par l'envieOn a marché inconscient sous les néons jaunesCe dont je me souviens, c'est nos ombres de feuOn a marché inconscient sous les néons jaunesCe dont je me souviens, c'est nos ombres de fantômesOn est entrés dans ta chambre pour crier nos nomsOn a laissé se mélanger nos anges et nos démonsAu matin, on échangera pas nos numérosAu-delà du réveil, je ne serai que de tropOn est entrés dans ta chambre pour crier nos nomsOn a laissé se mélanger nos anges et nos démonsAu matin, on échangera pas nos numérosAu-delà du réveil, je ne serai que de tropC'était à Paris, il était déjà tardLe lieu, le moment, à vrai dire, ne compte pasCe dont je me souviens, c'est la douceur de tes mainsOn a marché inconscient sous les néons jaunesCe dont je me souviens, c'est nos ombres de fantômesTu m'as pris par surprise, je t'ai prise par la mainCe dont je me souviens, c'est le bruit de tes pasOn est entrés dans ta chambre pour crier nos nomsOn a laissé se mélanger nos anges et nos démonsAu matin, on échangera pas nos numérosAu-delà du réveil, nous ne serons que de trop