Naître autour des parcs miniatures,
des faux-bourds
Qui peuvent en sortir sans prendre de coups,
quand aucun est un tambour
Vos jeux ne m'intéressent plus,
je souffre de vos rires
Être l'homme que vous n'attendez plus me fait vomir
Suivre l'écran,
quand fumer des cigarettes devient un jeu d'enfant
Tuer le temps,
quand ton lieu de réconfort est un banc
Où sont les confidents,
que t'on ne veut pas porter les gants
Et qu'on honore les imprudents,
et si mon monde est absent
Alors maintenant,
avez-vous vu comment je pars
Comme je prends les devants,
je change de décor
Embrasser ceux qui restent de mes arbres
Saluer les restes de mon clan,
mais regardez je pars
Moi je veux être grand,
là-bas je sais que quelqu'un m'attend
Je vois bien vos regards,
mais je ne reviendrai jamais vraiment
Je ne reviendrai jamais vraiment
Insulter nos mères, et cracher sur des gens
Devenir un homme,
se créer des problèmes,
écouter à la violence
Et ce depuis nos naissances,
pourquoi est-ce que la faiblesse n'est jamais la réponse
Pourtant aimer ses frères d'un autre père est une évidence
Et je vois se réduire en poussière,
les râpes dans vos paupières
Moi trop fier de ces pensements,
à l'adolescence ça n'a pas de sens
Et si je fuis sinon,
huite vos peurs,
mais je préfère vous couper tous
Sors de nos salles,
donc gardez vos discours Je les connais par cœur
Avez-vous vu comment je pars Comme je prends les devants,
je change de décor
Embrasser ceux qui restent de mes
arbres Saluer les restes de mon clan,
mais regardez je pars
Moi je veux être grand,
mais après je sais que quelqu'un m'attend
Je vois bien vos regards,
mais je ne reviendrai jamais vraiment
Je ne reviendrai jamais vraiment
Je ne reviendrai jamais vraiment
Je ne reviendrai jamais vraiment