Jamais, jamais,
jamais, si jamais, si jamais
Jamais, jamais,
jamais,
si jamais, si jamais
Jamais, jamais, jamais, si jamais, si jamais
Jamais,
si jamais, si jamais
Jamais, jamais,
jamais, si jamais, si jamais
Jamais, jamais,
jamais, si jamais, si jamais
Jamais, donc jamais,
et c'est bien ce qui me rassure
Y a l'espoir et l'usure, l'hiver et le printemps
De janvier et du mois de mai,
le présent et l'imparfait
Tout jamais, si jamais,
j'aimerais
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine, je boirais parfois de ton
eau Et même si ce n'est pas de ton repos
Dans jamais,
il y a guerre,
la semaine des quatre jeu***
Il y a aussi le mystère,
derrière tout ce que tu ***
De vrai ou de faux,
mais il revient le mois de mai
Avec ses fleurs et qui sait,
ce sera le moment ou jamais
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau
Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine, je boirais parfois de ton eau
Et même si ce n'est pas de ton repos
Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau Et même si ce n'est pas de ton repos
Fontaine,
je boirais parfois de ton eau Et même si ce n'est pas de ton repos