Il se lève, c'est là,
dans
sa tasse de café, il est
dans le plafonnier,
et dans la cuisine, mais la sécurité.
Un couloir,
une porte,
un lit,
c'est la nuit,
quelques pièces pour dormir, je sais plus
où je suis.
Un store noir,
une porte,
un lit,
c'est l'ennui,
rien à faire pour l'amour, mais ne *** pas
toujours.
Mais où es-tu,
quand tu es dans mes bras ?
Que fais-tu ?
Est-ce que tu penses à moi ?
D'où viens-tu ?
Un jour tu partiras.
Où es-tu,
quand tu es dans mes bras ?
Je fais des mauvais rêves,
je suis sur un mauvais câble,
dans la paranoïa, pas de marchand
du sable,
je vois en panoramique, urgente et désirable,
une blonde décapitée dans
sa décapotable.
Cauchemar,
highway, battery,
fumée noire,
une vorme vorace,
tu es au front d'un couloir.
On sort pas,
cafard, bras triple,
idée noire,
avalé par l'espace, au fond d'un manteau noir.
Je veux m'enfuir.
Quand tu es dans mes bras ?
Je veux m'enfuir.
Est-ce que tu rêves de moi ?
Je veux m'enfuir.
Tu ne penses qu'à toi.
Je veux m'enfuir.
Tout seul tu finiras.
Je veux m'enfuir,
je veux partir,
je veux de l'amour,
du plaisir,
de la folie,
du désir,
je veux pleurer, je veux rire.
Je veux m'enfuir,
je veux partir,
je veux de l'amour,
du plaisir,
de la folie,
du désir,
je veux pleurer, je veux rire.
Je veux m'enfuir.
Quand tu es dans mes bras ?
Je veux m'enfuir.
Est-ce que tu rêves de moi ?
Je veux m'enfuir.
Tu ne penses qu'à toi.
Je veux m'enfuir.
Tout seul tu finiras.
Je veux m'enfuir.
Quand tu es dans mes bras ?
Je veux m'enfuir.
Est-ce que tu rêves de moi ?
Je veux m'enfuir.
Tu ne penses qu'à toi.
Je veux m'enfuir.
Tout seul tu finiras.
Je veux m'enfuir.