Adieu mon vieux camarade Michel,
Te la laisse pour beaucoup de réunionner ici,
Vite que m'espère tu dois voir du ciel,
Fait de regret, de tristesse aussi.
Nous tes qui aiment bien,
on t'en a tué,
Surtout voir à tuer si podium de près,
Parce que quand le caf' te fait péter,
Tout le monde t'est vraiment dans la gaieté,
Toujours souriant et sympathique,
Prêt à tout pour plaire son grand public.
Alors pour rappel,
sans souvenir,
Même si ça effraye fruit d'auteur,
Tout camarade n'a pas en son coeur,
Ne répètera pas jamais assez,
Le grand vide que l'il a laissé,
Dans le coeur beaucoup de réunionner va baiser.
Aussi fou Michel que nous l'a aimé,
Nous n'aura toujours un penser,
Quand la radio l'y va passer.
Toutes bandes t'y refrains,
C'l'y chante et bien,
Va toujours dans un p'tit coin,
Un criant l'poussive ses refrains.
Il faut que nous t'y qu'n'ous rappelles aussi,
Où du temps le Rio t'es fait le samedi,
T'y ballons vraiment l'été fantaisie,
Où la côte est jazz tropical.
Là, lavé Jimmy, Claude, Rebecca,
Axel, Michel à la batterie,
Ainsi que le bon Georges à Moggy.
Fallait entendre de Dalon là,
T'y pédantel dans Kosasa,
Oublie ce temps là nous pépins.
Alors qu'on rappelle Zot's souvenir,
Même si ça y fait fruit d'nos coeurs,
Tout camarade n'a pas en son coeur,
Ne répètera pas jamais assez,
Le grand vide que Zot's l'a laissé,
Dans le coeur beaucoup de réunionner va baiser.
Aussi pour les deux que nous l'a aimé,
Nous n'aura toujours un penser,
Quand la radio Zot's va passer.
Toutes bonnes t'y refrains,
Zot's chante et bien,
Va toujours dans un p'tit coin,
Un criant l'poussive ses refrains.
Tous les jolis cafés,
Là par moi le terre aussi,
Dans un docker,
On peut bâtir un institutaire,
Moi les pâtes et les pieds de riz,
Mais moi un p'tit pied maïs,
Même dans mon misère,
Mi pein si elle fait au bonheur,
J'attendace un jour dans ma pauvre tête,
D'avoir une petite dame le poet,