On fend des blocs, pas des scoutsTu connais pas ma vie, alors t'as scoutsGamberge d'anciensL'amour que je donne, je n'attends pas qu'on me le rendeC'est à mon cœur, entre les mains, ne le prends pas pour de la viandeJ'ai pardonné l'impardonnable, tout puissant m'a *** de le faireJe préfère l'avoir à mes côtés qu'avoir un ferJ'ai trois, quatre frères, prêts à tout pour mon bien-êtreVoilà pourquoi je suis prêt à tout, pour leur gamelle, ils m'ont vu à terrePuis surmonter l'insurmontable, mes larmes sont pas potablesRemplis jamais ton verre avec, ce qui m'est rentableEt peut-être pour toi de la faiblesse, car je préfère la valeur d'un homme que la valeur d'une liasseJ'ai fait ma place dans les hauteurs de la musique françaiseEn gardant les traces d'un gamin des quartiers nord de MarsLe temps presse, donc je suis pragmatique quand je fais mes choixDonc je t'évite comme une pizza aux anchoisSi t'es bla bla, parasite mon dernierdernier combat, celui de marquer l'histoire avec un chant de Mars pour dire au revoirQuand je vois le monde, ma douleur est indélébileCe sont des vraies larmes, j'avance avec un cœur, pas avec des pilesJ'ai grandi dans la jungle, pas la même que Rudyard KiplingJ'y ai cueilli des roses, mais obligé d'assumer les épinesPudeur, intégrité, humilitéDiscrits pour mieux pouvoir les éleverAntifaschauxAntifaschauxDepuis l'île de GoréeT'as toujours su que Sopra savait kickerÉchec, y'a la daronne par la fenêtreOk, tu rappes, mais c'est quand que t'écris des têtesUne gamberge d'ancienne, réflexion sans finUne conduite sans frein sur l'autoroute du sang froidPour s'acheter une vie sans fraisOn s'en fera plus tard, pour l'instant faut coffrerCar les petits grandissent trop vite, c'est trop vraiOeuvrer pour sa famille, c'est ça un vrai bonhommeLa vie c'est touche noire, touche blancheEt toujours suivre le maître normandMais ça qu'importe le diplômeQu'ils soient des beaux maîtres ou de la sorbonneFaut de la bouffe dans la gamelle de ce petit mômeJ'suis discret comme les gens que je fréquenteVivons heureux, vivons cachés, j'l'ai appris chez nous casse-francLes politiques nous font des pranks à chaque électionTout pour leur gueule, tout pour leur banqueSurtout pour leurs axios, nerfsOuais c'est milliardaires qui contrôlent les médiasVive les réaxios, nerfs comme le frère WalidiaLe monde de demain, quoi qu'il advienne nous appartient, gaminVoilà ma gamberge d'ancienQuand j'vois le monde, ma douleur est indélébileCe sont des vraies larmes, j'avance avec un cœur, pas avec des pilesJ'ai grandi dans la jungle, pas la même que Rudyard KiplingJ'y ai cueilli des roses, mais obligé d'assumer les épinesPudeur, intégrité, humilitéDiscrits pour mieux pouvoir les éleverAntifasho depuis l'île de GoréeT'as toujours su que son bras savait kiquerÉchec, y'a la daronne par la fenêtreOk tu raps, mais c'est quand que t'écris des textesGamberge d'ancienGamberge d'ancienGamberge d'ancienGamberge d'ancien