Vie par les armes, meurt par les armesVie dans le haram, périra dans les flammesTu tires un rail avant de le fumerTu paranoïes, difficile d'assumerGalle que je suis un homme, galle que je suis un vraiTu flirtes avec le diable, tu vas pas tarder à brûlerLa vie est dure, c'est sûrY'a ceux qui se lèvent le cul, toi tu vends de la pureT'enlèves des vies, t'enlèves des âmesTu crois plus en Dieu, tu crois que l'on t'en aParanoïaque, dépressif, crie sur la daronneAddict à la coque, faut t'ados, faut que tu sniffUn grand ami, une gifle, it's a hot godTu veux lui faire la peau, ce fils de bâtardZama, t'es un fou, t'as des choses à prouverAttends-toi à tout, la rue va t'éprouverÇa commence par le gay, ça finit par donner des gosPour récupérer un terrain, tu fumes ton amigoComme si de rien n'était, t'assistes à son enterrementTu pleures avec sa mère, tu mélanges les sentimentsLa prochaine qui va pleurer, c'est la tienneAttends-toi à un lourd châtimentTu tires un rail avant de le fumerTu paranoïdes, difficile d'assumerQuel est que je suis un homme Il y a de que je suis un vraiTu pleures avec le diab, tu vas pas tarder à brûlerBrûler, brûler, brûlerQuel est que je suis un hommeQuel est, quel est que je suis un vraiBrûler, brûler, brûlerTu pleures avec le diab, tu vas pas tarder a brûlerY'a plus de rahma dans les quartiers, la drogue tue dans les quartiersLe shaitan nous a bernés, plus d'échappatoire on est cernésPlus d'amour dans mon quartier, la haine pousse dans ton quartierMême ton ami d'enfance peut devenir ton ennemi juréPrie pour tes fils qui sont égarésMême les anges ont fini par se barrerOn a rien à y gagner, on emporte rien avec nos sous-terresA quoi bon sœur d'être le plus riche du cimetière ?Marseille c'est des drames, Marseille c'est des larmesLa prison ou la mort, les corps calcinésMère en larmes, on sait plus à qui parlerPar amour j'commence à m'étier chaque jourSans savoir j'fais la bise à des meurtriersQue tu guettes nos brasQue tu guettes nos bras