La nuit est chaude et noire comme le café Oui, il est tard, qu'est-ce que t'as fait ?
Aux heures creuses, se croiser nos regards Encore ce soir, qu'est-ce qu'on a fait ?
Certains disent c'est la vie, une flamme qui vacille Dans le fond d'un verre, boîte des espoirs à gâcher
Non, c'est pas ça la vie, un cœur c'est moins facile Dans le fond de le faire battre que de le voir se casser
Et si c'est vrai comme des faiblesses les sentiments Alors bien sûr, on a appris à les cacher
Alors on se part gentiment quand c'est trop grave de se fâcher Je sais très bien que tu me mens quand tu me parles de vérité
Café, café
Café, café
Bienvenue au café, où l'on se sous-assouplit Où l'on s'amuse pendant dix jours
Bienvenue au café
Café, café
Café, café
Bienvenue au café, où l'on s'assouplit Où l'on s'amuse pendant dix jours
Bienvenue au café
Café, café
On peut lire son avenir comme dans le mar de café On peut aussi l'écrire comme sur une feuille de papier La nuit est chaude et noire, ouais, comme le café
Ouais, il est tard, qu'est-ce que t'as fait ? Ma parole je sais la tenir, personne ne peut la salir J'observe nos souvenirs se diluer dans le café
C'est aux heures creuses que se croisent nos regards Encore ce soir, qu'est-ce qu'on a fait ?
Et si c'est vrai comme des faiblesses les sentiments Alors bien sûr, on a appris à les cacher
Alors on se parle gentiment quand c'est trop grave de se fâcher Je sais très bien que tu me mens quand tu me parles de vérité
Café, café
Bienvenue au café, où l'on s'assouplit Où l'on s'amuse pendant dix jours
Bienvenue au café
Café, café
Bienvenue au café, où l'on s'amuse pendant dix jours
Bienvenue au café
On peut lire son avenir comme dans le mar de café On peut aussi l'écrire comme sur une feuille de papier La nuit est chaude et noire, ouais, comme le café
Il est tard, qu'est-ce que t'as fait ? Ma parole, je sais l'admire, personne ne peut la salir Et j'observe nos souvenirs se diluer dans le café
C'est aux heures creuses que se croisent nos regards Encore ce soir, qu'est-ce qu'on a fait ?