Celui qui se croit plus grand que les autres doit aller au cimetière.
Là, il verra ce qu'est vraiment la vie.
Une poignée de cendres.
Sacrifier l'innocence sur la pauvreté, les fantômes de ta consange dans un bol de thé.
Les crocheteurs, les oubliés de la morale, dans un livre de nagin néolibéral.
Sur le tranchant d'un couteau depuis pas mal d'années, comme un galito dans l'enfer des damnés.
Le cœur fan est venu pour vous damer le pion, dans ce monde où les anges font casser le fion.
Guillotine verbale, le flot qui tranche mètre, savoir-faire ancestral revenu le transmettre.
Message qu'amère sont les bons remèdes, manger l'orgueil pour seule mère comme Andromède.
Dans la fierté, les loups y planteront leur crohn, l'oisiveté viendra pour vous ronger les os.
Marionette furtive dans un théâtre d'eau.
Dans l'ombre, le code d'honneur me suivra jusqu'à ma tombe.
Dans ce pan au démonium, j'entends des larmes, au premier souffle de l'homme, je rendrai l'art.
Royaume étrange entre chimères et mascaras, éphémère comme une fleur de sakura.
Je gâche courage, un peu d'amour et d'assassinat, j'aiguise chacun de mes mots comme un katana.
Dans la bataille, tant que le soleil m'effleure, dans la fierté je vis, dans la fierté je
meurs.
Le jour tombant, la nuit étant sorceleuse, sur les bancs la gueule poudrée de céracoleuse.
Ivre mort comme pour accélérer le temps, l'oeil rouge et blanc comme l'empire du soleil
levant.
Dans la cave, non je ne vends que du vague à la balaise, si la rue ne te rend pas malade.
Le bout de mon calame se taille comme une épée, la mort me fait du pied, j'écris sur le
macadam.
Les grandes gueules, il faudrait mieux de fermer leurs claves.
Je n'ai pas d'espoir d'échapper, mais ferai moins que de simples tigres de papier.
Fleur de feu, n'attends pas que ma langue fourche, je mène le jeu comme au Rio la pivoine
rouge.
Dans la bouche, dans le cahier des rimes accrocheuses, un échec qui entre le chevalier et la faucheuse.
Je prends de l'âge, mets la verminée dans le pot, comme dans tatouage une araignée planquée
dans le dos.
Dans ce pan démoniaume, j'entends des larmes, au premier souffle de l'aube, je rendrai le
lave.
Royaume étrange entre chimères et mascaras, éphémère comme une fleur de sakura.
Je garde courage, un peu d'amour et d'assassinat, j'aiguille chacun de mes mots comme un katana.
Dans la bataille, tant que le soleil m'effleure, dans la fierté je vis, dans la fierté je
meurs.
Time is rough and tough like leather.
But as the world turned, I learned life is hell.
Time is rough and tough like leather.
Like life is hell.
Time is rough and tough like leather.
Tough, tough, tough like leather.
To learn to overcome the heartaches and pain.
The heartaches and pain.
Seul dans mon blizzard, râlant sans le pas, cette époque bizarre ne me ressemble pas.
Magnifique visage, songe évanescent, une averse hivernale pour nettoyer le sang.
Pour une courte gloire, ils mordent à l'hameçon leurs chaires mortes, à l'aspect de l'écaille
des poids.
Du poisson, du poisson dans le fond d'une coupe de saké.
Se consacrer à sa passion sans se faire remarquer.
Ce sentiment que la vie ne veut que tarnaquer.
Un immense donjon se défendre ou attaquer.
Chien sans nom, flatté par un esprit vengeur.
Mais sais-tu que le numéro c'est n'est pas vendeur.
Mon fendeur félon, fugitif rôdeur.
Les rappeurs chanteront tous avec des beaux codeurs.
Le bonheur dans le sifflement d'un rouge gorge.
Et je place l'honneur au-dessus de toute chose.
Dans ce pandémonium, j'entends des larmes.
Au premier souffle de l'aube, je rendrai l'âme.
Royaume étrange entre chimères et mascaras.
Éphémère comme une fleur de sakura.
Je garde courage, un peu d'amour et d'assassinat.
J'aiguise chacun de mes mots comme un katana.
Dans la bataille tant que le soleil m'effleure.
Dans la fierté je vis, dans la fierté je meurs.
Dans la fierté je vis, dans la fierté je meurs.
C'est dans l'honneur que l'on y vit, que l'on y meurt.
C'est dans l'honneur que l'on en rit, que l'on en pleure.
Sans honneur ni principe, le bonheur n'est rien.
Sept fleurs d'équinoxe, aucun empire, aucune escorte.
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