Une main de laine,
un bel effet,
un cadre ébène,
soudain tombé,
une odeur tienne,
un parfum sucré.
Mieux qu'une aubaine,
un hasard clé,
un acouphène
comme une pensée,
le vent séchant mes larmes,
le soleil sur mes drames.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit, c'était moi.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit,
c'était moi.
Mon souffle sur tes larmes,
mon regard sur tes drames,
tes signaux quand je râle,
un vacillement de flammes.
Une mise en scène
de rêve parfait,
un vert de verlaine que tu aimais,
le vent chassant mes drames,
la chaleur en mon âme.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit, c'était moi.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit,
c'était moi.
Mon souffle sur tes drames,
mes baisers sur ton âme.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit,
c'était moi.
Et à ce toit,
et à ce mois,
et à ce toit,
c'était moi.