L'air me paraît bien loin,
il me semble,
Rie dans l'impasse qui est la nôtre,
Vos unes lueurs,
que ta voix qui tremble
Est la solitude de ce vôtre.
Tout ça me semble irréel,
quand j'y pense,
Pourrons-nous remonter la côte ?
Combien de temps peut-on tenir à distance,
Sans que les fusibles sautent ?
Un jour, nous marcherons à nouveau ensemble,
Ensemble parmi les autres,
Un jour,
nous rejoindrons ces gens qui nous ressemblent,
Sans chercher à qui la faute.
Tout ça me semble imprudent,
Dans un sens,
Rêver de ton corps qui me frôle,
L'empêche, ces visions qui gagnent en latence,
M'éloignent pour un temps de bateau.
Demain est bien incertain, plus j'avance,
Y a cette méfiance qui rôde.
Combien de temps pourront-on tenir la distance,
Si moi et tout n'est pas qu'une fraude ?
Un jour, nous marcherons à nouveau ensemble,
Ensemble parmi les autres,
Un jour,
nous rejoindrons ces gens qui nous ressemblent,
Sans chercher à qui la faute.
Sans chercher à qui la faute.
Un jour,
nous marcherons à nouveau ensemble,
Ensemble parmi les autres,
Un jour, nous rejoindrons
ces gens qui nous ressemblent,
Sans chercher à qui la faute.
Ensemble parmi les autres,
Ensemble parmi les autres.