Pendant que les autres avancent loin de moi,En attendant, en attendant, je reste là,Et comme une pause avant les grands combats,En attendant, en attendant, je ne me perds pas,Comme l'eau douce des rivières,Se déchaîne dans la mer,C'est un souffle en attendant,Que je retrouve l'âme et le sang qui brûlent,Qu'un pas en avant, tout, tout bascule,Que m'importe le temps,En attendant, silence total,En attendant,Je vis dans des rêves qui vont loin là-bas,En attendant, en attendant, compris pour moi,Ma vue se soulève pour ceux qui y croient,En attendant, en attendant, que je devienne,Comme l'eau douce des rivières,Se déchaîne dans la mer,C'est un souffle en attendant,Que je retrouve l'âme et le sang qui brûlent,Qu'un pas en avant, tout, tout bascule,Que m'importe le temps,En attendant, silence total,Avant la tempête, que je parte à la conquête,Tous les océans qui dorment en attendant,J'entends dans ma tête, une musique qui se répète,Un tourbillon violent,L'âme et le sang, l'âme et le sang,L'âme et le sang, l'âme et le sang,L'âme et le sang qui brûlent,Qu'un pas en avant, tout, tout bascule,Que m'importe le temps,En attendant, en attendant,L'âme et le sang qui brûlent,Comme un rythme fou qui s'accélère,Remporté par le vent, le vent,En attendant, en attendant,Le sang qui brûle et sous bascule,Qu'un chant de lutin pourvu se l'en espère,Et se souffre au fond de moi, au fond de moi se libère,En attendant, en attendant,En attendant, en attendant,En attendant, en attendant,En attendant, en attendant,En attendant, en attendant,