de Jacques Plante sur une musique de Francis Lay, Emporte-moi. En porte-moi bien loin, bien loin d'ici En porte-moi là-bas dans ton pays Arrache-moi de ce monde où je vis En porte-moi bien loin, bien loin d'ici À Paris la nuit, les cœurs vieillissent vite Sur le seuil des bars, les lèvres vous invitent Sous les lampes crues, des souvenirs grimacent Dans un coin perdu, nos deux amants s'enlacent En porte-moi bien loin, bien loin d'ici En porte-moi là-bas dans ton pays Arrache-moi de ce monde où je vis En porte-moi bien loin, bien loin d'ici Au petit matin, le ciel devient tout rose Le quartier s'éteint, c'est l'heure où l'on arrose Au dernier bistrot, le patron fait la gueule Une femme au bar chante toute seule La, la, la, la, la, la, la, la, la, la En porte-moi bien loin, bien loin d'ici *